Entraînements

Jour : mercredi

Lieu : collège de l’Elysée, Avenue de l’Elysée 6, 1006 Lausanne

Horaire : de 18:00 à 19:45.

La salle faisant partie d ‘un établissement scolaire, les entraînements sont suspendus durant les vacances scolaires. Les jours de vacances sont établis par le canton de Vaud.

Jour : dimanche

Lieu : en plein air, devant le musée mudac, 1003 Lausanne

Horaire : variable selon les conditions du jour, généralement l’après-midi.

La place devant le mudac étant un endroit public, des événements indépendants de notre association peuvent avoir lieu. Les entraînements sont alors déplacés à un autre endroit ou à un autre horaire, ou annulés. Veuillez consulter les informations sur notre groupe Telegram.

Pour débuter, il n’y a pas besoin de qualités physiques particulières, ni d’uniforme particulier non plus, juste des vêtements confortables (sportifs). Nous avons des ceintures (obi), des bokutō et saya à disposition pour la première session. Les bokutō sont des sabres en bois, afin de s’initier sans risquer de se couper.
Si vous possédez déjà l'équipement avant de débuter, vous pourrez débuter avec vos propres affaires. Toutefois, votre matériel sera inspecté par la personne en charge de la séance pour raison de sécurité, en particulier le iaitō et le bokutō. Du matériel défectueux ou inadapté à la pratique du katana pourrait en effet s'avérer dangereux pour soi-même, ainsi que pour les autres. Dans tous les cas, il n'est pas nécessaire d'acquérir de l'équipement spécifiquement pour débuter. Une tenue sportive confortable et de la motivation suffisent. Le matériel nécessaire vous sera prêté pour la première séance. Pour la suite, la personne en charge se fera un plaisir de vous aiguiller pour l'acquisition du matériel.
Lorsque vous vous sentez prêt-e. Il est toutefois préférable de s'annoncer à l'avance s'il s'agit de vos tout premiers pas dans l'art du maniement du katana. L'équipement nécessaire vous sera prêté pour la première séance. Pour prendre rendez-vous, il suffit de nous envoyer un message. Votre demande sera répondue aussi tôt que possible. Ensuite, il vous suffit de vous présenter à l’heure et lieu convenu. Nous vous accueillerons avec plaisir.
Non, ce n'est pas dangereux, pour autant que les règles et instructions de la personne en charge soient respectées. Nous utilisons des mogitō (sabres non tranchants) pendant la pratique en groupe pour des raisons de sécurité. Les personnes qui font leurs premiers pas dans la discipline commencent généralement avec un sabre en bois pour réduire encore le risque d'avantage. La sécurité est toujours notre préoccupation principale et nous mettons tout en œuvre pour assurer la sécurité de toutes et tous. Le risque zéro n'existe toutefois pas, en particulier dans les arts martiaux. Nous attendons donc des participant-es une attention accrue, de la bienveillance, et le respect des règles, ainsi qu'une attitude disciplinée. Les personnes dont l'attitude n'est pas compatible avec cela seront remises à l'ordre, voire expulsées le cas échéant.
Bien que le katana (sabre japonais) soit principalement connu et conçu pour une utilisation guerrière, il tire ses origines dans les tréfonds de la mythologie japonaise, et représente donc un objet à forte connotation culturelle. Dans la culture japonaise, plus qu’une simple arme, le katana est considéré aussi bien comme armes létale, œuvre d'art, que symbole religieux. Aussi, il prend une place importante dans l’art du guerrier, l'histoire et la culture japonaise.
    Dans l’artisanat, il est mondialement reconnu comme une œuvre d'art à part entière. Le katana est une arme qui peut sceller le destin par la vie ou la mort, mais il est également emprunt d’une esthétique rarement disputée. Cette dichotomie – mort et esthétisme - amplifie d’avantage la fascination qu’il peut engendrer.
      Pratiquer le maniement du katana va donc bien au-delà d’apprendre un art martial (guerrier), il implique l’immersion dans un monde débordant d’arts profondément japonais dans la fabrication du katana – de la lame, du saya (fourreau), en passant par le tsuka (manche) et des habaki, fuchi, tsukagashira (ferrules), jusqu’au plus détaillé des éléments d’assemblage, mais également de culture riche et fascinante, ainsi que de la recherche de spiritualité.
        Découverte
        • D’un art méconnu ;
        • D’un objet culturel ;
        • Des usages liés à l’art ;
        • D’un façonnement de la condition physique douce.
          Maîtrise
          • De soi ;
          • Du mouvement ;
          • De l’équilibre ;
          • Des techniques et des kata ;
          • De la concentration ;
          • De la respiration.
            Spiritualité
            • Confiance en soi ;
            • Confiance aux autres ;
            • Travail méditatif.
              Les arts liés au katana enseignent diverses techniques qui auraient – à l’époque - permis de vaincre un ou plusieurs adversaires dans des situations de vie ou de mort. Les techniques sont exécutées avec un iaitō (un katana en métal) ou avec un bokutō (sabre en bois) pour les personnes encore mal à l’aise avec avec une arme métallique. La pratique des kata (型) est un entraînement pour progresser dans l’art de manier le katana, mais également une approche dans l’exploration de son être intérieur profond. Les pratiquant-es se retrouvent seul-es avec leurs armes, face à des adversaires imaginaires. Certain-es y voient des éléments philosophiques, et ainsi des éléments pour atteindre une plénitude spirituelle.
              À tous les passionnées et passionnés
                Le katana ne fait aucune distinction d’âge, de sexe, de genre, de confession, ni de force physique. C’est un art qui rassemble par son histoire, sa culture, son esthétique et son esprit. Une partie de l’enseignement est basée sur une maîtrise du maniement du katana en solo, en pratiquant des kata (型). Tant que l’on est capable de porter le katana, l’art peut s’apprendre. D’ailleurs, il existe des katana de différentes tailles et poids. Chacun-e peut trouver le katana qui lui convient. Une autre partie de l’enseignement est en binôme, et permet l’étude de la relation à l’autre. Les exercices sont prédéfinis et tout le monde peut s’entraîner avec tout le monde sans distinction de poids, taille ou genre. Ils sont conçus de manière à souligner la technique, la distance, le timing et la perception de la situation, et non pas pour porter un réel coup à son partenaire d’entraînement. Il ne s’agit pas d’un « sport de combat », mais d’un « art martial ».
                  Aux femmes
                  Dans certaines régions, notamment au Japon, le katana est très populaire auprès des dames. Non seulement l’esthétisme, mais également la culture des différentes traditions de forgeage des lames, des accessoires liés au katana sont un attrait certain, la gente féminine semble plus à même d’apprécier cet aspect de l’art. De plus, apprendre à manier une arme aussi belle et aussi létale, sans risquer de porter un coup à son partenaire, ou d’en recevoir un, est rare et particulièrement attrayant. Enfin, l’uniforme traditionnel – le dōgi – constitué notamment d’un hakama (pantalon large traditionnel), d’un uwagi (vêtement pour le haut du corps) et le obi (ceinture) donne une élégance qui est populaire chez les dames. Dans certains groupes, les dames sont plus nombreuses que les hommes.
                    Aux enfants
                    Quel enfant n’a pas un jour vu un film, une bande dessinée, un film d’animation, un jeux, ou des illustrations avec un samouraï ? Quel enfant n’a pas un jour rêvé d’être le héro de l’histoire qui lui a tant plus ? Les enfants sont remplis d’imagination qui ne demande qu’à être canalisée. L’art du katana ne requiert pas d’agressivité, mais au contraire de la concentration, discipline, humilité et persévérance. C’est une occasion d’allier le rêve avec l’enseignement de la vie, sans risquer un œil au beurre noir ou un bras cassé.
                    Aux familles (relation parent-enfant)
                    Les activités en général sont souvent exclusivement réservées soit aux enfants, soit aux adultes. Le football, la natation, la boxe, et autres sont séparés par catégories d’âge, parfois même par catégories de poids. Dans l’art du katana - du moins dans l’enseignement dispensé par notre Association - cette distinction n’est pas forcément nécessaire. Il est au contraire bénéfique d’intégrer tout le monde. Les exercices en binôme sont notamment basés sur la bienveillance, et c’est donc une occasion de tisser des liens inter-générationnels. De plus, notre expérience avec des groupes parent-enfant nous montrent que ceux-ci adorent pouvoir pratiquer une activité ensemble. Ceci d’autant plus que l’adulte n’a pas forcément un avantage sur l’enfant, car ce dernier a bien souvent plus de facilité dans le maniement du katana. Il se pourrait qu’une « rivalité » saine parent-enfant puisse se créer et ainsi resserrer les liens familiaux.
                    Proximité
                    Notre Association est située à Lausanne et notre lieu d’entraînement est également à Lausanne, proches des lignes de transport publics, ainsi que de places de stationnement. Nous sommes autochtones et comprenons la réalité locale.
                    Compétences dans l’entraînement avec les enfants et les adultes
                    Notre personne en charge des entraînements a été auparavant diplômé J+S niveau I, niveau II, puis niveau III. Il a notamment entraîné les jeunes de son club, mais également les adultes, au total pendant une douzaine d’années. En tant que parent, et proche des gens, il sait cultiver la relation interpersonnelle.
                    Tradition japonaise
                    Le style pratiqué dans notre Association provient de l’enseignement du Grand Maître (sōke) du style, YAHAGI Kunikazu, qui perpétue la transmission du savoir reçu du Grand Maître précédent, KAWABATA Terutaka. Notre personne en charge de l’entraînement, Dr SENUMA Yoshinori, est membre de l’Organisation et a joué un rôle central dans la traduction du premier livre sur les techniques du style. Aux personnes encore non familière avec cet univers, il adapte non seulement ce savoir, mais également les connaissances connexes au maniement du katana, ainsi que les subtilités des termes japonais qui semblent si mystérieux au monde occidental.
                    Matériel à disposition
                    Le matériel nécessaire peut être – au besoin - prêté pour la première séance. Pour la suite, il pourra être loué ou acheté. La personne en charge se fera un plaisir d’aiguiller la personne pour l'acquisition du matériel de qualité, si désir il y a.

                    Si vous souhaitez apprendre ces techniques transmises de génération à génération, rejoignez notre association dès aujourd’hui !

                    Bonjour, veuillez remplir le formulaire ci-dessous afin de rentrer en contact avec notre équipe. Merci !